Le saviez-vous ?
Les noces de Figaro, comme un certain nombre d'opéras de Mozart, est un opéra comique, je veux dire par là : vraiment drôle. Vous allez croire que je veux encore vous parler des
Noces pseudo-strehleriennes qu'a commis récemment Nicolas Joel : bien sûr, on n'a jamais tout à fait tort de me prêter des arrières-pensées, mais dans le cas présent ce n'est rien qu'une arrière-pensée, pas plus criminelle qu'une autre après tout (par exemple une arrière-pensée qui serait "voyez un peu comment les villes de province à l'étranger peuvent faire du travail intelligent et stimulant plutôt que de recourir sans arrêt à des vieux réacs comme
Paul-Émile Fourny"). Donc je veux bel et bien vous parler des
Noces de Figaro, mais de
Noces vivantes, celles signées par un jeune metteur en scène de 29 ans à Augsbourg, 3e ville de Bavière (250 000 habitants), dont le théâtre n'est pas certes dans le circuit des grandes scènes mondiales mais n'en est pas moins cher à mon cœur.
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